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  • PREMIER ANNIVERSAIRE.

    L'HOMME & LA MACHINE

    aujourd'hui, mon blog à un an.

    mais c'est béta, je n'ai rien à dire...

    happy birdhay to you my blog, happy birdhay to you... pom pom pi dou.

  • MON LUC EN PROVENCE.

    Sachant que le titre de la dernière note était susceptible d'heurter quelques délicats(es) lecteurs(trices) passant par là,  il fallait illico que je donne quelques explications sur ce vent de paillardise si peu coutumière sur ce blog...

    Le Var, merveilleux département, recormand du nombre de piscines remplies en période de sécheresse et du nombre de retraités sans souci financier, donc sans doute, du nombre de sociétés de surveillance, de Pompes Funèbres, de Cliniques privées et de toubibs de tout poils....

    Ah, naître et mourrir dans le Var... entre ces deux dates limites, il faut aller travailler et vivre ailleurs, sauf si l'on est héritiers, maffieux russes ou autres, commerçants, serveurs, plongeurs dans mer (et vaisselle), dealers de cok à ST Trop ou fonctionnaires divers dont des Armées...

    Au centre du Var donc, un village, le trou de balle du Var, dirais-je si j'avais l'humeur grivoise ou la Proctologie comme spécialité; c'est là où il fait le plus chaud dans ce département, déjà bien gaté par le soleil, le relief fait penser à une cuvette.
    Des 40°, sans vent... et un trou de balle, c'est là où la température se mesure chez les n'enfants. Mais un trou de balle sans vent c'est pas juste, imaginez le mistral soufflant au-dessus de la cuvette sans jamais la ventiler. Cruelle destinée pour cet endroit & ses habitants.

    Et le voilà mon trou du LE LUC. Je ne sais si le brugnonier y pousse.

     

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    Autre particularité de cet endroit, il sent mauvais. Aux élections de 2002, la Michèle D y a fait ses 27% & même 39% dans ds villages proches. Par ici et autours, un hab/4 a voté FN. Un colonel à peine efféminé, non ? Faut aimer... C'est la coupe "béret".

    Elle n'a aucun rapport direct avec le brugnon mais j'avais gardé son tract... pour faire peur aux enfants.

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    (Dire que je paye pour écrire de telles choses.)

  • LES BRUGNONS DANS MON LUC!

    Depuis au moins 15 jours, le r'miste que je suis rêvait de bouffer de juteux brugnons bien parfumés; parfumés comme des brugnons, juteux et parfumés donc dignes de ces adjectifs, sauraient l'être. Une envie, une obsession même, et si peu d'euro pour l'assouvir ; alors, en attendant, je grignotais des sandwichs de Tucs© parfumés bacon/petit bout de jambon, mais c'était si sec, si si si dégueulasse et dur à avaler, surtout avec de l'eau de la "CEO Toulon parfum ozone/javel©". J'évitais le trottoir où  siegeait l'étal aux fruits. On peut souffrir même en temps de paix.

    Je veux des brugnons, je veux mordre dans le brugnon et que son jus dégouline de mes babines et se répande de mon cou à mon buste poilu. Ou des pêches blanches mais ce n'est plus la saison pour ces dernieres.

    Finalement, hier je craque, je fonce au distributeur et je retire 40 euros du découvert auquel j'ai encore droit. Je traverse le boulevard et rejoins l'épicier. Je fixe, en bavant, une cagette de brugnons. Des top-models dans leur catégorie, des couleurs grandioses, une apparence parfaite. Un peu comme celle, nouvelle(?), de nos dirigeants qui affichent un bronzage permanent et des fringues de classe. Beau dehors, à l’intérieur… c'est autre chose. L’apparence Berlusconi, c’est le nom que je cherchais.

    Je saisi un fruit, le soupèse délicatement, il est un peu dur, mais ça ira, je le mangerai demain. Je vais pour en prendre un second quand les mains de l'épicier viennent se placer entre les miennes et les fruits de ma convoitise. Je comprends, faut pas que je touche le matos, j’avais pas vu la pancarte qui l’ordonne. Je m'en fous, j'en fais fi, j'arrive à passer une main entre les siennes et à récupérer un deuxième fruit, et toc. Je le regarde l'épicier, il est tout prêt de moi, il me fixe sans aucune sympathie dans le regard, pourtant c'est bien moi qui vais lui refiler du pognon.

    Je détourne son attention en lui demandant l'origine d'un fruit bizarre, une grosse pomme toute blanche. Pendant qu'il m'explique que c’est une pomme au goût de poire, que c'est nouveau et qu'il m'en tend une pour me la montrer, je récupère deux autres brugnons dont un plus mur que je compte déguster dès arrivé chez moi ; en espérant qu'ils ne soient pas comme les hommes dont je cause plus haut. Des grosses pommes qui ont le gout de la poire? Vivement les petites poires au gout de pomme, ça manque.

    Là, je vois que je ne me suis pas fait un nouvel ami, j'ai choisi mes quatre brugnons sans qu'il n'en touche un seul. « NE PAS TOUCHER LA MARCHANDISE,SVP », il n’a pas touché la mienne. Je vis dangeureusement.


    Il me colle derrière jusqu'à la balance, au cas où j'aurai envie de tâter à droite et à gauche sur le court chemin. Il pèse et ça fait 3,95 euros. « Quand on aime on ne compte pas », con de proverbe de riche, moi j'aime et je compte, quatre euros = quatre brugnons, c’est cher, dispendieuse cette lubie.

    Arrivé à l'appart, je coupe le brugnon mûr et mou en deux parties que je voudrais bien séparer, impossible, c'est rageant ce noyau qui s'accroche. Ce n'est rien, j’épluche le fruit et mords dans la chair et je la recrache aussitôt ! Pas de jus, un goût dégueulasse et l'impression d'avoir mâché du carton.

    J’en prends un second, en découpe un quartier, je le sens, l’odeur du fade, j’ai découvert l’odeur du fade. Je pousse tous ces déchets de côté sur mon évier. En faisant bref, un des quatre était goûteux, les trois autres plus que douteux, immangeables. De plus, c'est moi qui les ai choisis.

    Demain je ramène tout ça, chiche, si je suis un homme, je fais ça !

    Demain c’est lundi, il sera fermé, mardi tout sera pourri, je l’ai dans le fion. Mangez des fruits, quatre, cinq par jour qu’on nous serine.

    Je regarde ce tas de déchets, mais à quoi ça rime tout ça?  Quand je pense aux années de recherches richement dotées, aux espoirs, aux essais, aux greffes multiples et à la fierté de ces ingénieurs (les mêmes qui sont pour les OGM ?). Enfin, le passage au stade de la plantation à grande échelle de ce type d’arbres qui donnent de très jolis fruits dégueulasses à bouffer que même les parasites n’y arrivent plus; et bien je suis amené à me poser des questions, par exemple :qui gère cet immense bordel qu'est devenu le Monde?

    Toute cette énergie gaspillée, tout ce pognon, pour ce fruit, pour que j’en jette 75% et que je batisse dans la hate et la douleur une théorie sur les méfaits de la néo.économie. Je hais toute la chaine, mais qui aime-je ?

    FLASH-BACK en N & B, 20 ans plus tôt.

    e7fc3c14a20615cb222fc0af361fa98b.jpgPourtant, tout n’a pas été toujours ainsi. J’ai le souvenir d’une tante qui vivait à Toulouse, elle vendait du nougat dans les foires, ça vous forge un caractère un job pareil.
     De passage par ici, elle avait tenu à nous faire un poulet farci à je ne me rappelle plus quoi. J’étais à ces côtés quand elle l’avait acheté sur le marché du Cours Lafayette.
    Dans la cuisine, quand elle a voulu élargir le trou de remplissage du poulet, une forte odeur de pourriture en profita pour s’en échapper.
    Dix minutes plus tard, elle était devant le garçon boucher, elle avait enroulé le poulet dans du papier journal et le tenait par la tête depuis son départ de la cuisine.

    - Monsieur, votre poulet il est pas frais, il est même pourri ! Sentez-moi ça ! Elle attirait le chaland de sa forte voix.

    Le type la toisa, elle n’était pas impressionnante physiquement. Il le prit à la rigolade.

    - Et alors, qu’est-ce tu vas me faire ? Je ne suis pas dedans moi, je suis pas dans le poulet !

    - T’es pas dans le poulet toi ? T’es pas dans le poulet ? Et bien prend ça au moins tu pourras plus le dire !

    En même temps, elle fit tournoyer le gallinacé au-dessus de sa tête et le lâcha dans celle du garçon à la fin de sa phrase.

    Le patron rappliquât du bistrot où il siégeait, afin de disperser la foule, offrit un magnifique poulet à la dame de Toulouse et l’affaire fut close.

    Merci où que tu sois, tu m’avais vengé 20 ans auparavant.

  • LA LISTE... DES COURSES.

    Je termine ma trilogie, après la Liste d'Hortefeux et la Liste de Mariani, je vous présente ce jour :

    LA LISTE DES COURSES

     

    J'ai trouvé ce faire-part dans la rue, des pneus d'auto et des chaussures d'hommes l'avaient sali.

     

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    Quand je l'ai retourné, je me suis bien marré, car le mot Bière me semblait bien placé... Alors, j'ai tout bien nettoyé avec Gimp, et voila.

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    On est bien peu de chose, non ? 

  • Y'A PLUS DE TABOU, tourloutoutou...

    OU,
    LA LISTE DE MARIANI.
     
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    Y a plus de tabou, qu'ils disent, les Lagrange, Mariani et Cie. Alors, je me lance.


    Quelques idées pour Mariani:
    1) Interdire la baignoire à certains immigrés, vous voyez ce que je veux dire... Des wc à la turque et s'est tout. Et puis merde, pardon zut, wc turc pour tous les étrangers !!

    2) Etabir, au frais des cons de la République, le fichage adn de tous les héritiers fortunés des collabos bons français de 40/45, des fils & petits-fils d'entrepreneurs bien français, de ceux qui se levaient tôt pour dénoncer, non non pour s'enrichir.
    Cette magnifique liste établie (on pourrait la nommer : La liste de Mariani), les crs et la police, dignes descendances elles aussi, raccompagneraient tout les autres habitants hors de France. C'est à dire cette progéniture nauséabonde de communards, des gauchos de merde; allez raoust, en Afrique et à la nage..

    C'est une idée en l'air, rien ne nous empêche d'y réfléchir; osons, c'est comme ça qu'on nous reconnait.

    Comme moi, aidez votre Maître et ses valets, non non,ses collabo rateurs, proposez des idées, y a plus de tabou...Et, peut-être un jour, vous serez Conseiller Municipal d'une ville FN et zut, d'une mairie UMP du Sud.