En souvenir de Jean François BIZOT
(J'ai mis du temps à retrouver ce numéro
et, horreur, je l'ai détourné)
Et puis, j'ai lu sur Var Martin, journal qui ment même plus, juste il répète [y a qu'à voir, ce jour le 30 oct, son site lance un "l'info en vidéo" intitulé : Rachida Dati aurait menti sur ses diplômes (notons le conditionnel)], donc j'ai lu qu'un varois âgé de 57 ans avait été mordu à la main par un rottweiller, en première page sur le côté, ça a un nom cet endroit, mais il m'échappe. Il y a un article qui suit en page 5.

Après lecture de celui-ci, le rott devrait être exempté de peine de mort, le patron du caniche (le mordu) ayant dû avoir, au moment des faits, une attitude mal perçue par le gros chien. C'est bizarre, en France on a établi la peine de mort pour les chiens. Il faudrait penser à créer des tribunaux.
Il se passe, dans ce bas monde et dans notre pays, des actions innommables, et alors c'est quoi les nouvelles du monde pour Var Matin ? Un chien a mordu une main et, et, et... plus de 8 000 fans au Zénith (?) pour voir Tokyo Hotel, un boy-band de rock, oublié dans un an et demi. J'ai remonté la file d'attente (en deuch, y avait bouchon), c'était pas croyable, y avait les minettes de 12 ans annoncées, mais y avait aussi les grandes soeurs (30 ans) et d'autres encore plus âgées. Après le triomphe de Michel Sardou, Toulon montre l'étendue de ses goûts musicaux.
Mais je dérape, il y a 35 ans environ, ma frangine s'est fait mordre, elle avait 8 ans, au visage par un chien-loup (ou chien-policier ou berger-allemand) comme on les nommait affectueusement à l'époque et avec qui elle s'amusait tous les jours. Mon ex, a eu la même punition avec le même type de cabot, son chien, enfin, celui de ses parents ; et, elles ne sont pas passées dans le journal local et encore moins à la TV. Et la race ne s'est pas éteinte.
Donc, le problème n'est pas nouveau, les chiens ça mord. Une piste est lancée par Nicolas S, 10 ans de taule pour les proprios et la peine de mort pour les chiens. Lui, il dit qu'ils s'en servent comme d'une arme mais, tout le monde n'a pas les moyens de sortir en short entouré de dix gardes du corps.

Moi, je n'ai jamais aimé les gros chiens, mais un jour j'ai dû en raccompagner un, d'un point à un autre dans la ville, et là, j'ai compris. C'était un dogue allemand grand comme un poney. Les personnes croisées avaient une attitude respectueuse envers cet attelage que jamais je n'avais suscitée tout seul.
Mon chat m'a griffé et ce n'est pas la première fois, je vais faire une main courante, mince alors !